Le 24 janvier 2020 sortait le premier tome de ma saga fantasy, L’héritière de l’Etoile. Dans l’ensemble, le bilan est satisfaisant, bien que je n’ai pas les statistiques en détails. Mais je suis tout de même satisfaite d’en être arrivée là, alors qu’en 2019 je ne pensais même pas publier un roman. A ce jour, j’en ai publié deux alors on peut dire que l’année 2020 était une bonne année précisément pour cette raison.
Je ne cache pas que les débuts étaient compliqués et que, comme d’autres auteurs débutant dans l’auto-édition, je me suis retrouvée devant beaucoup de murs difficiles à franchir. Mais pas infranchissables, du moment qu’on s’en donne les moyens. Et comme dit l’héroïne de ma saga dans le tome 2 « Qui, sait, peut-être que je finirai par en faire un ou deux [des murs]. J’ai la tête dure ! »
J’ai eu la chance d’être soutenue tout au long du chemin par des personnes rencontrées sur les réseaux sociaux, qui me motivent jour après jour avec leur positivité. Ce n’est pas donné à tout le monde d’être dans un environnement positif, pourtant c’est la clé pour continuer à y croire, pour toujours apprendre dans tous les domaines.
Et la motivation, c’est bien ce qui a failli me faire perdre cette volonté d’écrire. Quand la vie a mis en péril mes rêves, j’ai pu compter sur des amies pour me redonner la motivation et j’ai même profité de leurs précieux conseils pour continuer d’écrire le tome 1 de L’héritière de l’Etoile. (Sophie et Lilas, c’est de vous que je parle, si jamais vous voyez passer cet article !)
En bref, malgré des débuts difficiles que j’aurais certainement pu mieux gérer si j’avais fais davantage de recherches et de travail personnel, je suis heureuse de là où je suis en ce moment même. Certains peuvent avoir des débuts en fanfare, d’autres plus mitigés. Si j’ai bien appris quelque chose au cours de cette longue année, c’est que ce n’est pas une course et ce n’en sera jamais une. Chacun à ses hauts, ses bas, même ses milieux. Il y aura toujours du positif même dans le négatif. Alors c’est pour ça qu’il faut toujours continuer à y croire.